Couvent de Notre-Dame-de-la-Mer des Saintes-Maries-de-la-Mer
Présentation
Culte	Catholique
Dédicataire	Notre-Dame et Saintes Maries
Type	Couvent
Rattachement	Archidiocèse d’Arles
Intronisation de la composition	IXe quantième
Fin des tâches	XIIe quantième
Style supérieur	Roman, art belles-lettres toulousain
Protection	Classé MH (1840)
Géographie
Pays	France
Diocèse	Provence-Alpes-Évaluation d’Azur
Région	Bouches-du-Rhône
Ville	Saintes-Maries-de-la-Mer
Coordonnées	43° 27′ 06″ boréal, 4° 25′ 40″ est
Géolocalisation sur la abonnement : Camargue Géolocalisation sur la abonnement : Bouches-du-Rhône Géolocalisation sur la abonnement : France
envenimer

L’cloître de Notre-Dame-de-la-Mer est une cloître fortifiée romane du IX^e quantième des Saintes-Maries-de-la-Mer en Camargue pour les Bouches-du-Rhône, en Provence. Dédiée à Notre-Dame et aux Saintes Maries, sézigue récépissé l’complémentaire du voyage aux Saintes-Maries-de-la-Mer, et est groupée aux charniers historiques depuis 1840.

Histoire

Oppidum

D’après l’exégète Jean-Paul Clébert, le géographe et historienne romaïque Strabon indique que les Phocéens de Massalia érigèrent à cet carrefour un ziggourat vénérable de dévotion à Artémis (hyade dentelure de la entité et de la battue).

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  Vue volante des Saintes-Maries-de-la-Mer

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  Vue des Saintes-Maries-de-la-Mer depuis la mer Méditerranée

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  Tableau ex-voto des Saintes-Maries-de-la-Mer

La ancienne nomination du arête est faite pour le ballade ora maritima (journal bord, en romain) d’Avienus au IV^e quantième, au-dessous le nom d’un atoll dénommé « redoute priscium Râ ». Ce vieil redoute devient au VI^e quantième Sancta Maria de Ratis (Sainte Marie du péniche), nom qui évolua environs Notre-Dame-de-la-Barque puis la fiction chrétienne du assaut des saintes Maries sur la argus camarguaise se popularisa. Cette hyperbole se fit à abruptement de 547, alors l’précaution d’une tribu de religieuses sur cet atoll par l’cardinal Césaire d’Arles, à cause influencer ce arête de voyage et de dévotion renégat de Mithra et Diane d’Éphèse.

De Notre-Dame-de-la-Barque à Notre-Dame-de-la-Mer

Visible d’une dizaine de km à la plantureuse, cette cloître fortifiée et son considérable forteresse-abside-tour-mur domine la bourg des Saintes-Maries-de-la-Mer depuis le orée du IX^e quantième, jour du orée de sa composition, à la bascule de transitions dans lequel invasions destructrices de l’Empire carolingien par les vikings et les sarrasins, et de podium de la noblesse et de ses églises fortifiées et châteaux forts à cause y guerroyer, et de transitions dans lequel l’armature carolingienne et l’armature romane (moralité des Saintes-Maries-de-la-Mer au Moyen Âge).

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  Donjon-abside-tour-mur

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  Donjon-abside-tour-mur

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  Donjon-abside-tour-mur et vue latérale

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  Toiture et tour-mur

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  Vue latérale, et tour-mur

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  Façade et galipette d’sens

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  Entrée et crucifix camarguaise

Le parage de Notre-Dame-de-la-Barque avait été au-dessous la leurre continuelle des sarrasins et des vikings, ce qui obligea les moniales à le choir. Ce ne fut qu’en 973 que les Sarrasins furent chassés par le comte Guillaume I^er de Provence, qui fit réédifier une cloître (dite à récent en ruines en 1061). Elle passa pour la mense du partie gaulois de la cathédrale Saint-Trophime d’Arles, ensuite les chanoines la rétrocédèrent à l’monastère Saint-Pierre de Montmajour qui y établit un couvent en 1078. C’est lorsque qu’sézigue fut dédiée à Notre-Dame-de-la-Mer. La relèvement de l’cloître fortifiée présente se fit dans lequel 1165 et 1170 (au orée du branchement médiéval du XII^e quantième, alors des similitudes architecturales alors le alcazar des papes d’Avignon médiéval du XIII^e quantième). Elle annexa irrévocablement au christianisme le dévotion renégat juxtaposé.

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  Vue depuis la mer Méditerranée

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  Nef

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  Cœur et abside

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  Vue depuis les parapets du aile

Le arête de dévotion accomplissait lorsque volonté en triade parties : « à culture une nef, une mausolée fini allongée fermée sur le antérieurement par une Afrique de fer, et sur les couple côtés et le culot par un mur de pierres de immensité ; un chœur au attachement, éclairé aux clercs. On a rejoint à celui-ci-ci par un indolent goulet dressé par un mur parent de ladite mausolée ».

Au XIV^e quantième, au-dessous le saint-siège des papes d’Avignon, le voyage aux Saintes-Maries-de-la-Mer y accomplissait exagérément raffolé. À tel nullement qu’en 1343, Benoît XII fixa la centenaire des Saintes au 25 mai et au 22 octobre. Jean de Venette, versificateur d’un ballade sur l’Histoire des Trois Maries raconte qu’il visita Pierre de Nantes, cardinal de Saint-Pol-de-Léon, lorsque approche de la alcool, et que ce dernier n’aurait dû sa réparation qu’à l’transaction des triade Maries. L’cardinal accomplit lorsque en miséricorde un voyage aux Saintes-Maries-de-la-Mer en 1357. Cette chez période, Arnaud de Cervole, dit l’Archiprexistence, se dirigea environs Avignon via la Camargue alors ses bandes anglo-gascones. Les reliques que contenaient l’cloître furent caves à l’détachement à la Sainte-Baume et Notre-Dame-de-la-Mer vit ses fortifications renforcées.

Les fouilles régalien René

En 1448, ce fut l’fable des reliques au-dessous le étape régalien René. Tout le sol de l’cloître fut défoncé. Ce qui permit de fixer au assainissement un cheminée et une amont d’eau inoffensive ensuite une tirelire d’serviable cerclée d’une courant de coupe-batterie. Dans le chœur fut dégagée « une mince charnier tenant des écuelles en tempérant, les unes entières, les singulières sillages, et une effective écart de ossement alors des charbons noirs ».

Enfin, dans lequel cette charnier et le mur de la mausolée du XII^e quantième, fut exempt un sillage de mur qui barrait quelque le chœur. Il s’ouvrait par une mince voussure permettant d’approcher à un chapelle. Dans celui-ci-ci se existait une carte supportant une autel de albâtre bien tertre.

Autour de celui-ci-ci on découvrit couple asile allongés « dégageant une épice sensuelle ». Les canevas, lavés au vin passage, furent placés pour des châsses et transportés pour la mausolée haute. En fin de fouilles, triade cippes furent exhumés et furent considérés pour ainsi dire les oreillers des Saintes. Toujours visibles pour la terrier de l’cloître, les couple originaires sont consacrés aux Junons et le allogène est un tertre taurobolique tenant achalandé au dévotion de Mithra. Jean-Paul Clébert suggère que le dévotion des triade Maries (les Tremaie) s’accomplissait substitué à un vénérable dévotion constat aux triade Matres, idoles celtiques de la inventivité, et qui avait été romanisées au-dessous le vocable des Junons.

La déclaration des reliques attribuées aux Saintes Maries s’accompagna de la exactitude de les « ostenter » triade coup l’an, le 25 mai, à cause la banquet de Marie-Jacobé, le 22 octobre à cause celle-ci de Marie-Salomé et le 3 décembre. Une roulotte à la mer, alors la birème et les couple saintes, eut désormais arête en mai et en octobre. Au concourant de celle-ci du 24 mai accomplissait associée Sara la Noire.

Jean-Paul Clébert récépissé saisir que la foncé de Sara quelque pour ainsi dire celle-ci des Maries pour à eux birème sont acéphales et munies de tirelire remplaçable. Il constate : « Les Mères, qui avaient obnubilé tellement de hygiène d’sustenter en cellule quatre têtes sacrées, semblent diligent désert les à eux au concourant des vicissitudes de à eux moralité ».

Le banal de la roulotte à la mer

Fernand Benoit, qui fut le ancêtre historienne à décrypter ce légende, souligne à cause les triade Maries et à cause Sarah, l’stature de la roulotte à la mer. Depuis 1936, l’décantation de la heureuse noire, que font les Bohémiens, précède d’un assainissement celle-ci des Maries en à eux birème. La foncé de Sarah est immergée jusqu’à mi-asile.

En Camargue, l’décantation usuelle pour la mer obéit à une arrangement familial. Déjà au XVII^e quantième, les Camarguaises et Camarguais se rendaient à basque les corne et les vignes, sur la dune, lorsque lointaine de singulières kilomètres de l’cloître des Saintes, et se prosternaient à jointures pour la mer.

« Le zèle de la aéronautique du « insensible timonier », court de la fiction du assaut, apparaît pour ainsi dire une logement combinat qui unit roulotte du insensible à basque la belligérance et assiduité de l’décantation des reliques, il se rattache aux processions agraires et purificatrices qui maints ont été conservées par les fêtes des Rogations et du Carnaval »

— Fernand Benoit, La Provence et le Comtat Venaissin, Arts et traditions populaires

Et l’historienne de accélérer que ces processions à la mer participent au irréalité chez de la verve provençale et à sa préoccupation respectueuse de la Méditerranée attendu qu’elles-mêmes se retrouvent tellement aux Saintes-Maries-de-la-Mer, qu’à Fréjus, Monaco, Saint-Tropez ou Collioure, liées à d’singulières saints ou saintes.

Description de l’cloître ancienne

Les fouilles archéologiques ont convenu de raser les structures de l’cloître qui a prévenu Notre-Dame-de-la-Mer. Il s’agissait d’une mausolée rurale à nef particulier. Ce arête de dévotion avait été édifié en parpaing calcaire méchante ce qui explique l’défaut de toute poinçon de tâcherons.

La nef de cette cloître ancienne comprenait triade travées qui menaient à un chœur boutonné par une abside semi-périphérique. Elle se existait flanquée, au Nord, par une galipette droite qui accomplissait avenant par un escargot qui partait du chœur.

Deux portes donnaient rejoint à l’cloître par les façades latérales. La ancienne, au Nord, accomplissait délicate aux fidèle. Elle permettait d’approcher au couvent et au vignoble. La agressif s’ouvrait pour la allogène portée Sud. Cette voussure des probes accomplissait illustrée, exagérément consentant, par couple lions de genre arlésien qui se trouvent présentement utilisés, en remploi, sur une voussure murée du XV^e quantième. L’abside accomplissait précédée par une portée de chœur et l’arc vainquant exagérément dentelé accomplissait grand air d’une répartition.

Couvent présente

Extérieur

Le solidification des Saintes resta revêtu par ses remparts moyenâgeux jusqu’à la Conversion. Ce parage accomplissait l’une des fûts maîtresses de la encensement de la hameau d’Arles. En son attachement l’cloître fut fortifiée au fur et à aménagement des nécessités. Son apparence récent jour du XIV^e quantième. La département subissant continuellement des raids de pirates barbaresques, aux commencements de sa composition, le consentement d’une type de emploi fut intensément obnubilé, alors une nef particulier, créneau alternés, parapets et galipette de ballet, crête la bourg à 15 m.

L’abside proche

L’ensemble des aménagements de genre combattant dissimule toujours la composition romane. Seule l’abside polygonale est apercevable de l’abord. Elle est surmontée d’un inactuelle asile de précaution. Éclairée d’une pamplemousse de ivre annelet, ses couple colonnettes sont surmontées de chapiteaux qui ont été datés du orée du XIII^e quantième. Sa diplôme de bandes lombardes alterne alors des consoles.

Le tour et la mausolée haute

Surplombant le chœur, sur toute la envergure de l’cloître, le mur du tour est surmontée de créneau et d’échancrures, de branchement belles-lettres : quatre sur une chez équerre, comportant chaque femme une grelot, une cinquième en là-dessus. Ce mur est adossé au asile de précaution, qui rehausse l’abside. L’exhaussement de la nef, aux XIV^e et XV^e siècles a inextirpable de profondes modifications.

La alors importante fut l’instruction d’un fonction publique de plantureuse. Construit en encorbellement, il repose sur des consoles ou des contreforts. Une mausolée haute total l’abside. Située au-là-dessus du chœur, pour l’inactuelle asile de précaution, sézigue est organisée au-dessous le vocable de l’angelot nourrisson Michel. Elle renferme les reliques des saintes, enfermées pour une caisse et qui ne sont sorties que à cause le voyage annal. Sa pourriture réside pour le récépissé qu’sézigue a été intégrée pour le spéculation défensif de l’cloître. Elle se termine semblable un forteresse et servait vers de château de surveillant.

Les cloches

Le tour-mur est équipé de 5 cloches de dégelée :

• Marie Jacobé-Marie Salomé liquéfiée en 1993 par la raffinerie Paccard (à Annecy), intonation: Sol3
• Claire, liquéfiée en 1837 par Eugène Baudouin (à Marseille), intonation: La#3
• Rosa, liquéfiée en 1839 par Eugène Baudouin (à Marseille), intonation: Do4
• Fraternisation, liquéfiée en 1984 par Paccard (à Annecy), intonation: Ré4
• Fulcranne, liquéfiée par Pierre Pierron (à Avignon), intonation: Ré#4

Intérieur

L’cloître, de branchement belles-lettres, se compose d’une nef, de quatre travées et d’une abside semi-périphérique romane. La douceur du ajout prédisposition pour son fond gros intestin. Seules une terrier, dédiée à Sara la noire et une « mausolée Haute », vouée à nourrisson Michel, pour l’primaire spontanée du asile de précaution, entière la nef vertical et l’abside en cuvette tour.

La nef

Elle n’a aucune mausolée latérale et ne possède que peu de diplôme, en abord d’une alcôve, sur la calme, comportant une ambassade de Sainte Marie Jacob et Sainte Marie Salomé, en birème. Cette nef particulier, en sentier accablé, n’est grand de côté que par des arcatures ivre cintres, alors voussures, contenus pour les non-directifs épaisseurs des murs.
La cohorte d’un cheminée, au-dessous le Christ en corne du XVII^e quantième, rappelle que cette cloître fortifiée servait d’détachement à la dynastie pendant des invasions de pirates, au Moyen Âge. Accotement boréal de la nef, près du claveau d’accord, est de la sorte apercevable une passage du bitume liminaire, conséquemment qu’un bénitier, poussé pour un inactuelle carrière.

Parmi les spécifiques émaux de la nef, on augmentation couple objets classés aux titres des charniers historiques depuis 1840 : un retable, en corne blond, datant du XVII^e quantième, et un berceau d’tertre tête-de-loup, sur balustrade corne, du XVI^e quantième, mandataire les apôtres et la Nativité.

L’abside civile

Elle a été fabriquée en cul-de-flambée et possède sept arcatures que supportent huit colonnettes en albâtre surmontées de chapiteaux historiés. Ils se subdivisent en couple noyaux.

Le ancêtre est mélangé de six chapiteaux à fond de ombre, de masques et de bustes humains ou de tirelire de fichtre. Leur linguistique les rapproche de ceux-ci de la passage boréal du couvent de Saint-Trophime. Ce qui permet de déterminer ces sculptures dans lequel 1160 et 1165.

Le assesseur arsenal n’a que couple chapiteaux. Ceux-ci sont considérés pour ainsi dire des chefs-d’œuvre majeurs de l’art belles-lettres toulousain. Le ancêtre représente le caché de l’Incarnation, le second la dévotion du Christ. Daté de la chez sénescence que les précédents, ils se rattachent par à eux linguistique à ceux-ci de la frise de la cathédrale de Nîmes.

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  Bénitier poussé pour un inactuelle carrière

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  L’Incarnation

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  Passion du Christ

Le Mystère de l’Incarnation met en dispute sur une pente le chant de la Visitation et sur l’étrange l’approche de l’angelot Gabriel à Zacharie. La dévotion du Christ, relativement sonorité, est évoquée au-dessous la type du Sacrifice d’Abraham.

La terrier

La terrier, semi enterrée, se situe au-dessous le chœur de l’cloître, alors un rejoint depuis le transept. Elle est vouée à Sara la noire, représentée par une foncé préservée. On intonation de la sorte pour cette terrier la cohorte d’un tertre, et de abondant ex-voto. Elle fut creusée à l’originalité régalien René, lorsque en procès des reliques des « triade Saintes Maries», en 1448. Un aérolithe de albâtre, absolument duveteux, l’« pouf des Saintes Maries » fut de la sorte arrérages pendant de ses fouilles.

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  Entrée

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  Sara la noire

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  La terrier à Sainte Sara la noire

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  Autel

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  Oreiller des Saintes

Bibliographie

• Jean-Paul Clébert, Guide de la Provence mystérieuse, Paris, Tchou, 1972
• Jean-Maurice Rouquette, Provence Romane 1, vol. 1, Zodiaque, 1974
• Fernand Benoit, La Provence et le Comtat Venaissin, Atrs et traditions populaires, Avignon, Aubanel, 1992(ISBN 2700600614)
• Marc Bordigoni, Le Périple des Gitans, dans lequel foi, arrangement et tourisme, Aix-en-Provence, Institut d’écologie méditerranéenne et comparative (psalmodier en équerre)
• Marc Guitteny, Camargue, Monaco, AJAX, 2011

Voir vers

Articles connexes

• Sara la noire
• Saintes Maries
• Histoire de la Camargue
• Saintes-Maries-de-la-Mer
• Périple aux Saintes-Maries-de-la-Mer
• Architecture romane – Art belles-lettres toulousain
• Liste des charniers historiques des Bouches-du-Rhône

Liens externes

• Notre-Dame-de-la-Mer sur le parage avili-apanage.com
• [vidéo] Sonné de cloches de l’cloître Notre-Dame-de-la-Mer des Saintes-Maries-de-la-Mer sur YouTube

Notes et références

v · m Architecture des églises
Parties d’une cloître	Abside Absidiole Chevet Chœur Clocher Collatéral Croisée du transept Cul-de-flambée Église Emban Flaiche Galilée Jubé Massif sociable Narthex Nef Parvis Porche Portail Tour-lanterne Transept Trapeznaïa Travée Tribune Vaisseau
Bâtiments	Baptistère Campanile Caquetoire Chapelle Cloître Crypte Oratoire Plan genre d’cloître
Éléments d’armature	Arc Arc-boutant Arc-doubleau Arcature Archivolte Chapiteau Chimère Chirinka Claire-voie Colonne Contrefort Coupole Croisée d’ogives Dais Enfeu Gargouille Lierne Linteau Litre Mascaron Modillon Mur-boutant Ogive Pilastre Pilier Pinacle Rosace Tierceron Triforium Trumeau Tympan Voussure Voûte
Mobilier saint	Abat-voix Ambon Autel Banc de impanation Banc d’œuvre Bénitier Buffet d’limonaire Cathèdre Chaire Châsse Ciborium Confessionnal Crédence Cuve Fonts baptismaux Gisant Iconostase Jubé Miséricorde Piscine Reliquaire Retable Stalles Tabernacle Tambour Tombeau Tref Vitrail
Styles d’armature chrétienne	Architecture paléochrétienne Architecture byzantine Architecture chrétienne au Moyen Âge Architecture préromane Architecture romane Architecture médiéval Architecture de la Renaissance Architecture curieux Architecture conformiste Architecture victorienne Architecture néo-romane Style néogothique Architecture néo-byzantine Architecture néo-conformiste Style Second Empire Style Beaux-Arts Historicisme

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