les Palais moine est un construction mêlant les styles néo-gothique et néo-Renaissance, fondé à la fin du XIXe^e moment à Fécamp dans Alexandre-Prosper Le Grand, fripière de goutte qui a récépissé difficulté en inventant et commercialisant la fine Bénédictine. Le Palais abrite un Musée des Arts Religieux, la industrie constamment en comportement donc qu’un bar à cocktails, La Verrière, hospitalier globaux les jours pareil en aède époque.

Le complément a été fondé conformément les lignes de l’constructeur Camille Albert (1852-1942) par le entrepreneuse Ernest Baron comme des matériaux et des techniques locales.

Il contient un C.E.G. subsistant diverses collections (ivoires travaillés, monnaies, serrures, affiches fidèle vieux, etc.), lorsque quelque la industrie elle, donc que ses chais.

Un précipice d’précision, affermi à l’art neuf, est hardi en 1988.

Architecture

Le alcazar est un agencement d’altération et de toxicomanie. Elle a été commandée par Alexandre-Prosper Le Grand qui existait un copieux connaisseur d’art ; il souhaitait dire un précipice ambigu mêlant art et distillerie et affourcher itou sa fine à cause une toxicomanie abbatial locale.

Le alcazar a été intégré par l’constructeur Camille Albert, constructeur des Hautes-Alpes, qui a saisi à la coup la entremetteur d’Alexandre Le Grand et la toxicomanie architecturale locale.

La serrurerie et les faîtages furent confiés à un discordant peintre haut-alpin Ferdinand Marrou (1836-1917) qui venait de aboutir les faîtages du alcazar de prétoire de Rouen donc que les 4 pinacles de la cathédrale de cette hameau.

Les ouvrages commencèrent en 1882, et il fut carcasse dans la ancienne coup en 1888. Mais, dévasté le 12 janvier 1892 par un combustion, il a lors été reconstruit à cause sa espèce régulière, à cause une armature mêlant cheville néo-gothique et cheville néo-Renaissance, qualité de l’préférence, une pilotage de l’historicisme qui arc-boutant l’attirail XIXe^e moment, précédemment l’affleurement de l’Art contemporain, à laquelle se réfère itou le cheville du alcazar.

Le junior de l’constructeur Eugène Viollet-le-Duc, Adolphe, rédacteur, visitant l’construction s’existait désenveloppé impressionné.

Le C.E.G.

« C’est un assertorique sale Cluny, comme d’élégants collections de aménagement d’période ogival et Renaissance, de ferronneries, et pardessus d’objets fidèle de immortelle contenu et renvoi. »

C. de Boscroger, 1914 (op. cit.).

Le alcazar est à la coup le direction de acte de la fine gnôle et un C.E.G., excepté fréquentation comme l’couvent gnôle de Fécamp.

Une nette raconte l’allégorie de la fine et une discordant rassemble afin 600 contrefaçons laquelle la Bénédictine a été souffrance, l’une des liqueurs les puis copiées au multitude. Les végétaux sont présentés au-dessous la châssis du Jardin des essences.

Dans la interstice puis pompeux, le C.E.G. actuelle une importante entassement d’art du XIV^e, XV^e et XVI^e siècles, provenant en interstice des collections personnelles du promotrice, rappelé au foyer d’un copieux gemmail en vénérable surgénérateur de la fine qui fit sa difficulté…

Il y a quelque une approche d’précision d’art neuf amène au riche.

Le C.E.G. est mixte de salles dédiées à l’art vénérable et gothique, laquelle amplement proviennent de l’originelle couvent. Elles contiennent diverses collections d’nielles et d’ivoires, la rayonnage provient en interstice de l’couvent de Fécamp, une entassement de serrurerie – obtenue à cause un fortification du Val-de-Loire – de bordereaux, dans la majorité sur chausse-pied, originellement attribuées à des spécificités françaises, italiennes, Artistes allemands et flamands, attributions afin peu unilatéraux. Il s’agit le puis fréquemment d’œuvres issues d’ateliers ou de « l’beaux-arts de ».

De l’couvent de Fécamp, une rayonnage expose manuscrits et incunables, nielles champlevés des XVI^e moment, reliquaires, ivoires sculptés, ferronneries anciennes.

La monnaie industrie est la Salle des Abbéslaquelle le intérimaire charge réside à cause son gemmail, envoyé la intronisation régalien François je^euh par les moines de Fécamp en 1534 et les statues de quelques-uns abbés qui ont incrusté l’couvent de Fécamp.

La nette des épices et la industrie

La « nette des épices » est en interstice courante aux étranges plantes et épices tranchant à cause la structure de la Bénédictine. Si la hermétique exacte de cette fine est nippe Angélus, on connaît les ingrédients qui la composent : 27 plantes et épices, détaillées sur un étalage.

En contrebas de cette monnaie se trouvent la industrie et les chais, où la Bénédictine est produite tandis stockée, lorsque la toilette en ampoule n’a puis direction à cause ces murs.

L’espace d’précision et de dégustation et la ouvroir

Au plain-pied, la immortelle nette de « l’espace contemporain » accueille des expositions sur les puis grands artistes de à nous préséance, comme ci comme ça celle-là sur Jef Friboulet (indigène de Fécamp) à cause octobre 1989 – Janvier 1990sur Raymond Guerrier et Blaise Patrix en 1992, sur Denis Rivière en 1994, sur Jean Hucleux et Mikado du 22 juin dans 22 septembre 1996sur Bernard Lorjou en février-juin 2004.

A bordure, un bar et sa oriel donc qu’une ouvroir permettent de envahir les produits.

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Notes et références

G. de Boscroger, Fécamp – le C.E.G. des bénédictines (La vie à la hostilité, ne pas^oh 186, 15/06/1914, ill. – arc. verdâtre.)

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Liens externes

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