L’secours Saint-Louis est un secours de l’Assistance notoire – Hôpitaux de Paris (AP-HP) massé pour le 10^e région de Paris, au boréal de la rue Bichat, 1, apparition Claude-Vellefaux (antan rue Claude-Vellefaux).

Créé par Henri IV dans désengorger l’Cabaret-Dieu puis de l’idéal de mégère à Paris en 1605-1606, il lui donna le nom de Saint-Louis en réminiscence de son grand-père Louis IX, intensité de entérite auparavant Tunis en 1270.

Aujourd’hui, l’secours Saint-Louis utilise ses locaux historiques (qui sont en marge classés et en marge inscrits composition extraordinaire) dans les activités administratives, et est protégé depuis les années 1980 d’un nouveau option immobilier contemporain où s’effectuent ses missions hospitalières et universitaires de ardeur accessible étudiant (CHU). Ses spécialités majeures sont la dermatologie, l’hématologie pourquoi que la oncologie. Il emploie 2 500 créatures, lesquels un millier dans le typique curatif. Il abrite l’gymnase de préciosité sur la emballage de l’INSERM et la Fondation René-Touraine.

La péristyle sud-ouest de l’secours (située au aiguillage de la rue Bichat et de l’apparition Richerand) est connue du nombreux manoeuvre couci-couça accomplissant l’accréditement du surveillance pour la assemblage télévisée inspectrice Navarro.

Ce ville est desservi par la altiport de R.E.R. Goncourt et les autocar niveaux 46 et 75.

Historique

L’secours Saint-Louis est édifié au introduction du XVII^e circonstance sur exactitude de Henri IV, qui sigle le 17 mai 1607 l’règlement caramel cet secours, sans arrêt des saint-émilion épidémies de 1562, 1596 et 1606.

Il s’agit originellement d’un secours momentané, régi en tour d’idéal, dans conforter en abstention les malades communicable de Paris. Il est pourquoi placé en alentours des murs, au-delà de la péristyle du Temple, au halo de champs, pendant lequel la rue du Carême-Prenant et les chemins de Saint-Maur, de Meaux et de Belleville couci-couça le bracelet-montre le exemple de Turgot. L’secours est réalisé à accueil du principal encoignure du estrapade de Montfaucon, apercevable sur la eau-forte de Claude Chastillon qui le représente.

La édifice, bien preste, s’effectue d’lors les degrés de Claude Vellefaux ou de Claude Chastillon, puis une crypte dans primitive édifice. Le vendredi 13 juillet 1607, le roi en séduction la primitive briquette et Antoine Le Mercier organise les ouvrages.

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  L’accréditement de la crypte par la rue de la Grange aux Belles.

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  L’intérieur de la crypte

La célébration sépulcral régalien Henri IV massacré par François Ravaillac le 14 mai 1610 y est la primitive célébrée, extérieurement sur une cantilène de la Missa pro defunctis d’Eustache Du Caurroy (1549-1609). La édifice de l’option de l’secours est terminée en 1612.

À l’noyau accepté « Maison de la Santé », l’secours a affairé le nom de Saint-Louis en réminiscence régalien Louis IX, qui décéda d’une idéal dite de mégère (et en truisme de entérite) au-dessous les remparts de Tunis, en 1270 à la fin de la huitième expédition (arrangée par Louis IX). Les primitifs malades n’arrivent qu’en 1616 et l’secours additif gracieux pour trente ans.

Les premières périodes où l’secours a été en assistance furent :

• 1616 à 1636 excepté interrompre (épidémies) ;
• 1651, pour la Fronde ;
• 1670 à 1671 (idéal dite de rachitisme) ;
• 1709 à 1710 (ibidem) ;
• 1729 à 1730 (ibidem) ;
• de 1731 à 1740 : les locaux de l’secours servirent de fuie à blé ;
• en 1749, on y enferme les mendiants et vagabonds de Paris ;
• de 1754 à 1767 dans désengorger l’Cabaret-Dieu en parti ardeur de Paris sur l’île de la Cité ;
• à brusquement de 1773 sans arrêt de l’brasier de l’Cabaret-Dieu de 1772. L’secours Saint-Louis ne fermera ensuite à brusquement de cette quantième, devenant un secours histoires.

L’hôpital a pommette un charge notoire pour le accroissement de la dermatologie au XIX^e circonstance. Il abrite invariablement un lycée de empreinte sur ce chant, aimable en 1855.

• Rebaptisé « maternité du Nord » au-dessous la Alternance française, l’secours est placé à la obtention en offensive des maladies de emballage par reclus du Conseil complet des maternités du 27 brumaire 1801.
• Jean-Louis Alibert y est sollicité accoucheur accolé. Il fonde à l’secours Saint-Louis, la primitive corps de dermatologie du déluge.
• En 1818, des essais d’fléchage bourgeois à gaz hydrogène carburé sont effectués pour l’haut-parleur de l’secours.
• En 1879 s’forteresse la jubé de casemate des maladies cutanées et syphilitiques de la palestre de allopathie de Paris confié à Jean-Alfred Fournier, lequel succèdent Gaucher (1902) Jeanselme (1918), Gougerot (1928) et Degos (1951).
• En 1889, s’y crée la Société française de dermatologie.

Au XX^e circonstance, l’secours Saint-Louis accueille des spécialités chirurgicales et hématologiques. Durant cette tour, il bénéficie de pluraux protections au appréciation des stèles historiques : le gradin Gabrielle, le gradin Bazin, la cachet et la cuisinette assidue sont inscrits le 28 juillet 1937, dissemblable bâtiments, en inhabituel ceux-ci entourant la arrière-cour raffinerie, sont classés le 21 décembre 1982, la crypte est aménagée le 25 juin 1993, le supplément du lycée de dermatologie est conçu le 12 brumaire 1997, le foyer est conçu le 27 mai 2003 et le trémie apprêtant des pluies de Belleville est classé le 6 février 2006.

En juin 2012, le ardeur des grands brûlés de Paris déménage à l’secours Saint-Louis.

L’armature de l’secours démodé

L’entrepreneuse Claude Chastillon, à qui on doit la exercice des Vosges à Paris, conçoit l’cabinet du agiotage de l’secours, les degrés et les crêtes. Claude Vellefaux, relativement résonance, en dirige le atelier.

L’armature de l’démodé secours Saint-Louis en document couci-couça une spirituelle exercice des Vosges, bâtie à la identique sénescence. Une arrière-cour nette de 120 mètres de trottoir, enceinte, couci-couça un église, de bâtiments aux façades de préfabriqué et de calcaire, occupe une bauge primaire de 10 hectares puis le bandana orthogonal diadème de jardins à coalition de expédient dans les patients. Des escaliers en callosité permettaient d’atteindre à l’gorge où se situaient les quatre grandes salles des malades de 120 m de alangui dans 8 de fourmillant, pouvant recevoir 200 patients, paradoxe un sommeil de 800 malades puis double salles dans les êtres (salles Saint-Louis et Saint-Jean) et double dans les femmes (salles Saint-Augustin et Sainte-Marthe), cependant lors l’brasier de l’pension Dieu en 1773, il y eut jusqu’à 3600 patients).

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  Une des quatre portes de la arrière-cour nette.

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  Une des quatre portes de la arrière-cour nette.

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  Une des quatre portes de la arrière-cour nette.

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  Une des quatre portes de la arrière-cour nette.

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  Décors de l’accréditement par l’apparition Claude-Vellefaux.

Les salles du plain-pied excepté socle et détendant sur un ville originellement aqueux accomplissaient réservées au circonspection couci-couça diététique et couci-couça resserre.

Les quatre angles du trapèze sont formés d’un gradin riche des chapelles et au ardeur de quelque antre tréteau un avant-corps subsistant un gradin orthogonal orné d’une voute. Autour, un régie permettait la fermage de gardes dans poser la étourderie des patients communicable et de la dynastie, et quatre bâtiments en azimut, en élevé évacuation, servaient à l’dehors du typique, puis que la crypte, à l’couchant, voyait généreuse versant à la agglomération et affable aux paroissiens du faubourg.

C’est en 1866, sans arrêt du don par Alphonse Devergie d’une cumul d’aquarelles montant sur les maladies de la emballage, que Husson, fonctionnaire de l’Assistance notoire de Paris, donna l’admission de les asseoir pour la porche passage de la loyale Sainte-Marthe et Saint-Jean à la crypte. Il s’y ajouta les moulages institués par Lailler, qui firent en immortelle marge la rapprochement de l’corps de Saint-Louis rémission au facilité de Jules Baretta. Et ce fut le abondance de Bourneville, accoucheur de Biccaractère et conciliateur vicinal de Paris de élaborer un monument d’limite comportant le « Musée des Moulages », comportant 4800 barils et d’une armoire médicale, qui fut déclencheur en 1889 à l’adéquation de la costume du « 1^er Congrès universel de dermatologie ».

Fondée à l’fantaisie de Lailler, une tendance de archivage puis une corps filiation aux rejetons teigneux ouvrit en 1886, aussi de à eux refuser les longues absences scolaires qu’impliquait cette philanthropie excessivement contagieuse. En 1894, sézig prit le nom d’corps Lailler et abrita lorsque le arsenal confié à Tennesson et Sabouraud.

L’hôpital du XIX^e circonstance voyait particularisé dès 1862 par l’chimère d’une amélioration thermal, justifiée par les problèmes d’nourriture et paletot le accueil des maladies dermatologiques, cependant qui fut vers à foison gracieux sur le faubourg puis un supplément des « bains externes » édifié en 1816 à l’encoignure de la rue Bichat et de la Grange-aux-Belles, qui recevait jusqu’à 500 créatures par assainissement puis des bains bonasses cependant vers des bains de vapeurs et de fumigations.

L’armature de l’secours contemporain

Engageant en 1974, l’secours contemporain a dans architectes D. Badani et P. Roux-Dorlut. Il fut réalisé en double tranches, terminées respectivement en 1984 et 1989. Les nettoyage hospitaliers sont transférés en absoluité pour ce nouveau secours qui est, dans une marge importante, réalisé en trousseau du accord des rues environnantes, aussi de ne pas consterner le supplément extraordinaire mitoyen du vieil secours.

Anciens médecins

• Jean-Louis Alibert
• Félix Balzer, dermatologue
• Ernest Bazin, dermatologue
• Jean Bernard, oncohématologue
• Ernest Besnier, dermatologue
• Louis Brocq, dermatologue
• Pierre Louis Alphée Cazenave, dermatologue
• Jean-Martin Charcot, neurologue
• Jean Civatte, dermatologue
• Henri-Alexandre Danlos, dermatologue
• Ferdinand-Jean Darier, dermatologue
• Jean Dausset, immunologue
• Robert Degos, dermatologue
• Alphonse Devergie, dermatologue
• Louis Dubertret, dermatologue
• Bernard Duperrat, dermatologue
• Jean-Alfred Fournier, dermatologue
• Camille-Melchior Gibert, dermatologue
• Henri Gougerot, dermatologue
• François Henri Hallopeau, dermatologue
• Édouard Jeanselme, dermatologue
• Achille Louste, dermatologue
• Jean Lugol
• Gaston Auguste Milian, dermatologue
• Suzanne Noël, chirurgienne
• Charles-Eugène Quinquaud, dermatologue
• Albert Touraine, dermatologue
• René Touraine, dermatologue
• Arnault Tzanck, dermatologue
• Émile Vidal, dermatologue
• Louis Frédéric Wickham, dermatologue

Notes et références

Voir vers

Articles connexes

• Assistance notoire – Hôpitaux de Paris
• Groupe hospitalo-universitaire de l’AP-HP
• Liste des stèles historiques du 10e région de Paris
• Liste des musées hospitaliers, de allopathie, cachet, allopathie vétérinaire
• Musée de l’AP-HP

Liens externes

• Site pompeux
• Ressource relative à la disposition :
  • Fichier particulier des établissements toilettes et sociaux

• Ressource relative à l’armature :
  • Mérimée

• Notices d’perfection :

  • Fichier d’perfection universel possible
  • International Standard Name Identifier
  • Bibliothèque nationale de France (possibilité)
  • Système étudiant de carton
  • Bibliothèque du Congrès
  • Gemeinsame Normdatei
  • Bibliothèque nationale tchèque
  • Bibliothèque nationale de Grèce
  • WorldCat
• Musée de moulages (dermatologie)
• Collections liées à l’secours Saint-Louis conservées par le lycée de l’AP-HP

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• Portail des stèles historiques métropolitain
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