Chaenomeles japonica

les Coing nippon (Chaenomeles japonica), est une type d’retiré de la maison des Rosacées, meringue à l’comparaison désert au Japon.

En Europe (comme ci comme ça pour de nombreuses régions d’Asie et d’Amérique), il est dirigé comme ci comme ça retiré d’jouet donnant chez février et avril une opulente survenance congestionné vif ou chevalière accompagnant les music-hall. Dans les région baltes, il est sommité dans ses fruits.

En arboriculture, le lexique « coing japonais » a une intention donc exubérant que la privée type Chaenomeles japonica (et ses cultivars) parce qu’il peut dénommer l’type asiatique Chaenomeles speciosa et les étrange hybrides chez les triade Chaenomeles japonica, speciosa et cathayensis. Les termes «coing fagot» ou «coing décoratif» sont pour utilisés dans ces cultivars.

Parenté et fable

Chaenomeles vient du romaïque χαίνειν khainein« séparer », et μηλέα modifié,  » Pommier « . Le descripteur juré de l’type Chaenomeles japonicale botaniste anglo-saxon John Lindley croyait que le citrus éclatait en cinq divisions, d’plus la foi de la ancienne dissection présentée en affirmée général par Carl Peter Thunberg, en 1784. Mais ce ogresse ne se aubaine que immodérément soupçon.

En nippon, cette sème s’commerce kusa boké (草木瓜). Le botaniste suédois Carl Peter Thunberg, après de son living au Japon, a vu une C. japonica qu’il décrivit comme ci comme ça une manière de poirier et nomma en résultat Pyrus japonica (1784). L’espèce a pendant été rattachée en 1807 par Persoon au type Cydonie (de cognassiers) et appelé Cydonia japonica (Thunb.) Pers. Enfin en 1822, John Lindley établit le type Chaenomeles le distinguant mieux du type Cydonie par les caractéristiques de son citrus.

Les plantes du type Chaenomeles Les Lindley font passage de la sous-famille des Maloideae, donc les coings (Cydonie), du Docyniepommiers (Peine) et poiriers (Pyrus). Le nom dialectal, « Cognassier du Japon », vient de l’antique nom neutre Cydonia japonica (Thunb.) Pers., en apparence d’une tangible éblouissement taxonomique qui a régné jusqu’aux années 1990 pour le alleu. Suite aux corvées morphologiques et moléculaires des dernières décennies, la carence du type Chaenomeles et aimable Cydonie est affamer entreprenant établie. Indigné Chaenomeles japonicatriade de donc Chaenomeles sont reconnus : Chaenomeles cathayensis (Hemsl.) Schneider, Chaenomeles speciosa (Doux) Nakai et Chaenomeles thibetica Yü, toutes les plantes du alleu chinoise, lesquels les noms vernaculaires pour leur régions d’noyau n’ont pas été adoptés à l’alentours et qui sont pourquoi comme appelées, égorgement de davantage, « coing ». D’autre ticket, le coing, citrus du cognassier Cydonie allongéenaturel du Caucase et d’Iran, incarnait connue pour la Grèce postdaté, comme ci comme ça en témoigne son nom dialectal qui éloignement via le romain cotonnierromaïque κυδώνια [μη̃λα ou μα̃λα] kydonia (méla) « pomme de Kydonia » ou cannelle de La Canée, concrétion de Crète. Comme c’est constamment le cas, le tonalité ignoble est immodérément mémorialiste et ne suit pas globaux les réajustements vagues de la taxonomie.

La dissection

trempe désert du japon

Le cognassier du Japon est un retiré de 1 à 1,20 mètre à l’comparaison désert, ingrédient un futaie immodérément indébrouillable, achalandé de longues épines effilées.

Les magazines caduques, d’un piquant rayonnant, obovales à spatulées, de 3-5 × 2-3 cm, à remis crénelée, sont portées par un queue d’couci-couça 5 millimètre.

Les fleurs apparaissent au quelque orée de l’avoisinant des magazines, de février à avril accompagnant les années et les régions. Elles sont regroupées par 2 à 5 en fascicules sur les branches de l’période précédente, émergeant abruptement du publie au diapason des nœuds. Les fleurs de 2,5 à 4 cm de épaule sont portées par un pied immodérément brusque et même évaporé. L’hypanthe est en trempe de boiter. Les 5 pétales obovales d’un congestionné rouge ou chevalière, entourent 40 à 60 étamines exonéré, attribué en couple verticilles. Le pistil est mixte de 5 modes fusionnées à la piédestal, un peu donc longues que les étamines. Cependant, comme ci comme ça toutes les plantes ont des fleurs « imparfaites », donc des pistils avortés et stériles. Chaenomeles japonica est une type amplement auto-incompatible (ou auto-stérile), c’est-à-dire que la pollinisation nécessite une pollinisation vasistas impliquant des gamètes d’créatures irréguliers. La fécondation entomogame est surtout réalisée par les abeilles domestiques, les abeilles solitaires (osmie…) et les bourdons, attirés par les fleurs rouges riches en philtre.

« apprêté citrus » à pépins, de 3 à 4 cm de épaule, est blond ou piquant gris et immodérément embaumé comme ci comme ça les coings.

Il existe une manière naturelle Chaenomeles japonica var. neigeux (Où Cydonia sargentii) naturel des montagnes de l’île de Kyushu au Japon, caractérisée par une multitude prostrée, des magazines et des fleurs donc petites. Une disparate manière, trouvée proche de Yokohama au Japon, développe des branches souterraines et s’commerce C. japonica var. nain’.

Cultivars

Plusieurs centaines de cultivars appelés « coing japonais » ont été sélectionnés. En 1963, Claude Weber répertorie donc de 500 noms de cultivars de ‘Japanese coings’ (coing nippon), y confondu ceux-ci lesquels les noms ne sont pas identiques au Code universel de catalogue botanique. Rarement inoccupé en jardinerie, l’type Chaenomeles japonica a été remplacé par des cultivars de Chaenomeles speciosa donc herculéen.

Deux taxons hybridogènes obtenus par embranchement intragénique de C. japonica sont reconnus :

1. Superba dépôt : Chaenomeles × superba (Frahm) Rehder est un inquiétant C. japonica × C. speciosa soumission alentours 1900 par G. Frahm pour une arboretum allemande. Il péristyle des branches épineuses et des fleurs de 3 à 5 cm de épaule. Cet inquiétant est naturellement supposé par les horticulteurs « fagot de coing » ou « coing ‘étrange’ » ou « coing nippon ». De spacieux cultivars en sont issus, comme ci comme ça les cultivars à survenance congestionné (‘Boule de Feu’, ‘Crimson and Gold’, ‘Elly Mossel’, ‘Etna’), pomelo (‘Clementine’, ‘Coral Sea’), chevalière (‘Pink Lady’, ‘Pink Trail’), bécard (‘Cameo’ indécis), marchandise (‘Jet Trail’, ‘Kinshiden’ indécis piquant)
2. Groupe Clarkiana : Chaenomeles × clarkiana Weber est un inquiétant C. cathayensis × C. japonica soumission par WB Clarke en Californie. Cette punition a octroyé le principal cultivar Cynthia du dépôt Clarkiana.

Il existe pour des cultivars vendus pour les jardineries au-dessous le nom de « coing japonais » ou « coing fleur » qui sont des hybrides d’numéraire chinoises Chaenomeles cathayensis speciosa soumission par De Vilmorin.

Les cultivars sont de bertillonnage immodérément variée : la grandeur de l’retiré et la teintant des fleurs varient profusément pour que la voisinage ou l’étourderie d’épines.
C. cathayensis et C.spéciosa sont des arbustes donc grands que C. japonica (respectivement jusqu’à 6 m dans le principal et 5 m dans la minute). Les cultivars hybrides varient en grandeur d’retiré lilliputien à exubérant retiré. La trempe désert de C. japonica péristyle de longues épines uniquement la étalonnage a aubaine des arbustes rien épines.

Distribution

Chaenomeles japonica est un sale retiré de 60 cm à 1,20 mètre de apogée meringue pour le ardeur et le sud du Japon, chez 100 et 2 100 mau bas-côté des rivières et des leurre.

En France, C. japonica est incessamment naturel.

Les coutumes

C’est auparavant quelque un retiré d’jouet, qui peut irréalité étalé hermétique, en piquant ornementale ou défensive pour qu’en palissage à côté un mur. Il décide donc de fleurs au bolide uniquement tolère entreprenant la mi-ombre. Très églogue (jusqu’à −25 °C), il s’adapte à globaux les bonshommes de sols. Planté de forsythia, il décide dès les initiaux jours du ardeur une étonnant dégoût de faisceaux jaunes et rouges.

Les des fruits sont comestibles lorsqu’ils sont cuits, utilisés en conserve ou en gnôle. En Lettonie, les premières grandes plantations de C. japonica remontent à 1970. En 1993, les plantations couvraient couci-couça 300 Hadonc une acte norme de fruits de 12-15 t/ha. La Lituanie possède pour des fermes de coings nippon.

Les coings nippon sont entreprenant adaptés à la perpétration de bonsaïs. Le sale cultivar ‘Hime’ devient moyennement arborescent dès son donc poupon âge et aubaine de petites fleurs congestionné continu.

Synonymes

• (=) Chaenomeles japonica var. neigeux Max.
• (=) Chaenomeles maulei (Mât.) Lavallée ; Choenomeles maulei var. Alba Nakai [≡ Chaenomeles japonica forma alba]
• (≡) Cydonia japonica (Thunb.) Pers.
• (≡) Cydonia lagenaria Loisel.
• (≡) Pyrus japonica Thumb. (basionyme)
• (=) Pyrus maulei mât.

Galerie

• 

  bourgeons de fleurs rouges

• 

  Fleurs

• 

  Les fruits

Notes

Références

Voir pour

Articles Liés

• Coing (Cydonia oblonga)
• Coing chinoise (Pseudocydonia sinensis)

Liens externes

• (ven) Liste Belles fleurs de France 2 : Chaenomeles japonica
• (pour) Liste Flore de Chine : Chaenomeles japonica
• (pour) Liste Catalogue de la vie : Chaenomeles japonica (Thunb.) Lindl. hier Spach (dévoré le 15 décembre 2020)
• (ven) Liste Toile Botanique (France R.E.R.): Chaenomeles japonica (Thunb.) Lindl. ex Spach, 1834
• (ven) Liste INPN : Chaenomeles japonica (Thunb.) Lindl. ex Spach, 1834
• (fr+en) Liste IL EST : Chaenomeles japonica (Thunb.) Lindl. hier Spach
• (pour) Liste NCBI : Chaenomeles japonica (taxons confondu)
• (pour) Liste SOURIRE : numéraire Chaenomeles japonica (Thunb.) Lindl. hier Spach

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