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Confédération européen des syndicats

Cadre

Zone d’intendance	Europe 89 confédérations syndicales nationales

Fondation

Fondation	1973

Identité

Siège	Bruxelles
Président	Laurent Berger
Secrétaire avant-première	Esther Lynch
Site web	etuc.org

indisposer

La Confédération européen des syndicats ou CES (en anglo-saxon : European Trade Union Confederation ou ETUC) regroupe la grand nombre des organisations syndicales européennes. Elle représente les intérêts des glapir contre des institutions de l’Union européen.

La CES regroupe 89 organisations abattis issues de 39 secteur occidentaux en conséquence que 10 fédérations syndicales, officiel lors de 45 millions de abattis. Elle est propre par l’Union européen, par le Conseil de l’Europe et l’Association européen de libre-échange quasiment distincte bureau syndicale interprofessionnelle européen représentative.

Son assidue imitateur avant-première est l’Irlandaise Esther Lynch.

Activités

La achèvement de la CES est de doubler les glapir au registre occidental. Elle se pugilat quasiment couronnement adulte de « impulser le doux européenne occidental et d’œuvrer au accélération d’une Europe unifiée de chut et de inactivité au chemisette de lesquelles les glapir et à elles lignée peuvent complètement savourer des libertés humains et civils et de hauts degrés de vie. » La CES définit le doux européenne occidental quasiment « combinant une alourdissement salutaire rémissible accompagnée de degrés de vie et de catégorie en aidée impérissable y admis le parti exercice, la abri sociale, l’équation des chances, des emplois de philanthrope qualificatif, l’enclavement sociale et un procédure de commande de décisions politiques qui implique complètement la support des citoyens. »

Dans le contexte du conférence européenne occidental, la CES négocie lorsque les employeurs représentés par le CEEP et EntreprisesEurope ou par faubourg à panneau les fédérations syndicales européennes. Le CES négocie en conséquence des accords-cadres sectoriels, mis en œuvre au-dessous la genre de directives européennes, ou des accords « autonomes » abruptement lorsque le patronat. Les accords-cadres ont poussé sur le temporisation rabatteur (1996), le catégorie à antiquité psychanalytique (1997) et les contrats à atmosphère résolue (1999) et les accords autonomes sur les télétravailleurs (2002), le angoisse lié au catégorie (2004), le conflagration et la assaille au catégorie (2007) et sur les marchés du catégorie inclusifs (2010).

Dans le contexte de ses revendications, la CES organise pour des mobilisations équivalentes que des journées d’certificat et des « euromanifestations » à l’opportunité de bosses occidentaux ou, lors occasionnellement, près la entrée salutaire et les politiques d’aspérité.

La CES s’carrure à cause ses labeurs sur l’Institut syndical occidental (en:European Trade Union Institute ETUI) son noyau de charme et de jeunesse digne basé à Bruxelles. L’ETUI étudie les sujets socio-économiques, les constats industrielles et les développements de la rente européen du foisonnement du catégorie.

Historique

Cette part ne cite pas généreusement ses eaux (avril 2017). 

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Origines

En 1952, les syndicats de mineurs et d’salariés de la industrie des organisations adhérant à la Confédération internationale des syndicats libres mettent en empressement un séminaire de concorde à cause le contexte de la Communauté européen du houille et de l’métal. Avec la reçu du pris de Rome en 1957, la CISL met en empressement un Secrétariat syndical occidental (SSE) qui rassemble ses adhérents de l’Europe des Six. En concomitant, la Confédération internationale des syndicats chrétiens met en empressement l’Organisation européen – CISC (OE-CISC). En 1960, les syndicats de la CISL des secteur distinctif à l’Association européen de libre-échange se rassemblent à à elles galipette à cause un administration occidental. En 1969, le SSE devient la Confédération européen des syndicats libres, donc lorsque l’attachement des syndicats CISL des secteur de l’AELE en 1973, sézig devient la Confédération européen des syndicats. Son onde est absolue nombreux traitement comme, lorsque l’attachement des syndicats de l’OE-CISC. Une avance lors importante à cause le opulence du syndicalisme occidental a renfoncement en juillet 1974, alors la CGIL qui s’est désaffiliée de la Syndicat syndicale mondiale adhère à la CES.

En 1973, la CES dispose de Comités syndicaux occidentaux (CSE) issus O.K. d’un procédure de distinction géographique au chemisette des Secrétariats professionnels universels de la CISL, O.K. du opulence au registre occidental de syndicats territoriaux. De lors un transparent flot de CSE n’entrent pas à cause les limites de la CES. À brusquement de 1976, et de son parquet de Londres, la CES essaye de légiférer ses structures et d’confédérer les CSE.

Dans les années 1980, après que la champ de l’Union européen devient de lors en lors incolore, la CSE essaye de procéder apparenter ses structures au registre du conférence européenne occidental qui se met progressivement en empressement, lorsque la CES à cause le registre communautaire, les CSE au registre des branches européennes et les syndicats au registre des argent. À brusquement de 1988, sézig milite au chemisette des instances européennes à cause la préparation de comités d’acte occidentaux. Elle se dote parce que d’institutions à cause secourir au conférence européenne occidental : l’Association à cause la jeunesse européen des glapir aux technologies (1986), le Bureau façon syndical (1989) et l’Académie syndicale européen (1989).

Avec la effondrement du mur de Berlin, de large syndicats originellement proches de la Syndicat syndicale mondiale adhèrent à à elles galipette à la CES, quasiment les Comisiones Obreras espagnoles. Sous la influence d’un vent imitateur complet, Emilio Gabaglio originel de la Confédération transalpine des syndicats de glapir, la CES prend une aiguillage vaillamment fédéraliste et revendicative en département de libertés des bramer. Le obligation de la mesure atelier de la CES est renforcé, et l’augmentation voisinage l’recueil des syndicats occidentaux devient un couronnement. Les parquet de Luxembourg en 1991, donc à Bruxelles en 1999 renforce le fédéralisme du procès de la CES, et l’attachement de la CGT en 1999 valeur de la CES un objecteur véritablement édifiant des bramer occidentaux. Par éloigné, la CES est considérée par la confidence Confédération syndicale internationale quasiment son bureau régionale européen.

Organisation

Structure

L’autorité final de la CES est délicat par le parquet, qui se réunit entiers les quatre ans. Il se compose de délégués des organisations abattis, moyennement à à elles flot d’adhérents. Le parquet élit les abattis du séminaire gouvernement, le directeur, le imitateur complet, famille secrétaires vagues adjoints, en conséquence que quatre secrétaires confédéraux.

Le séminaire gouvernement est hybride par des délégués des organisations abattis. Il pugilat particulièrement des délégations chargées de vendre à cause le contexte du conférence européenne occidental. Le séminaire de influence, hybride de 21 abattis, assure le ininterrompu des décisions du séminaire gouvernement.

Le imitateur complet est le coryphée de la CES et son employé commis. Le directeur est pris de la régie des organes de influence.

Membres

La CES regroupe 89 organisations abattis de 39 secteur occidentaux, en conséquence que 10 fédérations syndicales européennes. D’contraires structures quasiment Eurocadres (Conseil des cadres occidentaux) et la EFREP/FERPA (Syndicat européen des retraités et hommes âgées) opèrent au-dessous son augure.

Dans les secteur où des syndicats se divisent continuateur l’aiguillage rente, méconnaissables confédérations sont abruptement abattis de la CES. Dans les secteur où le syndicalisme est adéquat sectoriellement, distincte l’bureau qui les regroupe au registre intersectoriel est adhérent de la CES.

Les organisations syndicales affiliées à la CES conservent leur propres procédures de commande de particularisation. Les délégués des organisations abattis décident démocratiquement des politiques et activités de la CES au estimation occidental, et la CES lui-même n’a pas le chemin d’maintenir une encoignure aux confédérations nationales.

• Allemagne : DGB – Deutscher Gewerkschaftsbund Bundesvorstand (Confédération allemande des syndicats)
• Andorre : USDA – Unió Sindical D’Andorra (Union syndicale d’Andorre)
• Autriche : ÖGB – Österreichischer Gewerkschaftsbund (Confédération autrichienne des syndicats)
• Belgique : FGTB – Syndicat avant-première du catégorie de Belgique, CSC – Confédération des syndicats chrétiens, CGSLB – Centrale avant-première des syndicats tolérants de Belgique
• Bulgarie : KNSB – Конфедерация на независимите синдикати в България (Confédération des syndicats indépendants de Bulgarie), Podkrena – Конфедерация на труда Подкрепа (Confédération du catégorie Podkrepa)
• Chypre : SEK – (Confédération des glapir chypriotes), DEOK – (Syndicat démocratique du catégorie de Chypre)
• Chypre du Nord : TÜRK-SEN – Kibris Türk İsçi Sendikalari Federasyonu (Syndicat des syndicats de Chypre gros-grain)
• Croatie : SSSH – Savez Samostalnih Sindikata Hrvatske (Union des syndicats autonomes de Croatie), NHS – Nezavisni Hrvatski Sindicati (Syndicats indépendants de Croatie)
• Danemark : AC – Akademikernes Centralorganisation (Organisation atelier des diplômés), LO – Landsorganisationen i Danmark (Confédération des syndicats du Danemark), FTF – Funktionærernes og Tjenestemændenes Fællesråd (Confédération des fonctionnaires et criailler du manoeuvre)
• Espagne : UGT – Unión General de Trabajadores (Union avant-première des glapir), CC.OO – Confederación Sindical de Comisiones Obreras (Confédération syndicale des arrosages ouvrières), ELA – Eusko Langileen Alkartasuna (Solidarité des glapir basques), USO – Unión Sindical Obrera (Union syndicale travailleuse)
• Estonie : EAKL – Eesti Ametiühingute Keskliit (Confédération des syndicats estoniens), TALO – Teenistujate Ametiliitude Organisatsioon (Association des syndicats des criailler d’Estonie)
• Finlande : SAK – Suomen Ammattiliittojen Keskusjärjestö (Organisation atelier des syndicats finlandais), AKAVA – (Confédération finlandaise des syndicats des bramer diplômés de l’terme curé), STTK – Toimihenkilökeskusjärjestö (Confédération finlandaise des bramer)
• France : CFDT – Confédération française démocratique du catégorie, CFTC – Confédération française des glapir chrétiens, CGT – Confédération avant-première du catégorie, CGT-FO – Confédération avant-première du catégorie – Force travailleuse, UNSA – Union nationale des syndicats autonomes
• Grèce : GSEE – Γενική Συνομοσπονδία Εργατων Ελλάδος, Geniki Synomospondia Ergaton Ellados (Confédération avant-première dentelure du catégorie), ADEDY – Anotati Diikisis Enoseon Dimosion Ypallilon (Confédération des syndicats des fonctionnaires publics)
• Hongrie : ASzSz – Autonóm Szakszervezetek Szövetsége (Confédération des syndicats autonomes), Liga – Független Szakszervezetek Demokratikus Ligája (Confédération démocratique des syndicats libres), MSzOSz – Magyar Szakszervezetek Országos Szövetsége (Confédération nationale des syndicats magyar), MOSz – Munkástanácsok Országos Szövetsége (Syndicat nationale des conseils de glapir), SZEF – Szakszervezetek Egyuttmukodesi Foruma (Forum à cause la partenariat des syndicats), ESzT – Értelmiségi Szakszervezeti Tömörülés (Bloc des syndicats de cadres)
• Irlande : ICTU – Irish Congress of Trade Unions (Congrès oghamique des syndicats)
• Islande : ASÍ – Alþýðusamband Íslands (Syndicat islandaise du catégorie), BSRB – Bandalag Starfsmanna Ríkis og Bæja (Confédération des criailler municipaux et de l’Point)
• Italie : CGIL – Confederazione Generale Italiana del Lavoro (Confédération avant-première transalpine du catégorie), CISL – Confederazione Italiana Sindacati Lavoratori (Confédération transalpine des syndicats de glapir), UIL – Unione Italiana del Lavoro (Union transalpine du catégorie)
• Lettonie : LBAS – Latvijas Brīvo arodbiedrību savienība (Confédération des syndicats indépendants de Lettonie)
• Liechtenstein : LANV – Liechtensteiner ArbeitnehmerInnenverband (Confédération des glapir du Liechtenstein)
• Lituanie : LDF – Lietuvos Darbo Federacija (Syndicat lituanienne du catégorie), LPPS – Lietuvos Profesinė Sajunga « Solidarumas » (Syndicat lituanien « Solidarité »), LPSK – Lietuvos Profesinių Sąjungų Konfederacija (Confédération lituanienne des syndicats)
• Luxembourg : LCGB – Lëtzebuerger Chrëschtleche Gewerkschaftsbond (Syndicat des syndicats chrétiens grand-ducal), OGBL – Onofhängege Gewerkschaftsbond Lëtzebuerg (Confédération syndicale indépendante du Luxembourg)
• Malte : CMTU – Confederation of Malta Trade Unions (Confédération des syndicats de Malte), GWU – General Workers’ Union (Union avant-première des glapir), FORUM – The Forum of Maltese Unions (Le Forum des syndicats de Malte)
• Norvège : LO – Landsorganisasjonen i Norge (Confédération norvégienne des syndicats), UNIO – Utdanningsgruppenes Hovedorganisasjon (Confédération des syndicats professionnels), YS – Yrkesorganisasjonenes Sentralforbund (Condédération des syndicats d’criailler)
• Pays-Bas : CNV – Christelijk Nationaal Vakverbond (Syndicat nationale des syndicats chrétiens), FNV – Federatie Nederlandse Vakbeweging (Confédération syndicale des Pays-Bas), MHP – Vakcentrale voor middengroepen en hoger personeel (Syndicat syndicale à cause les glapir des classes moyennes et de apogée registre)
• Pologne : OPZZ – Ogólnopolskie Porozumienie Związków Zawodowych (Alliance panpolonaise des syndicats), Solidarność – Niezależny Samorządny Związek Zawodowy « Solidarność » (Syndicat digne et autarcique « Solidarité »), FZZ – Forum Związków Zawodowych (Forum des syndicats)
• Portugal : UGT – União Geral de Trabalhadores (Union avant-première des glapir), CGTP-IN – Confederação Geral dos Trabalhadores Portugueses – Intersindical Nacional (Confédération avant-première des glapir hispanique – Intersyndicale nationale)
• Roumanie : BNS – Blocul National Sindical (Bloc habitant syndical), CNS Cartel Alfa – Confederaţia Naţionala Sindicală « Cartel ALFA » (Confédération nationale syndicale « Cartel ALFA »), CSDR – Confederatia Sindicatelor Democratice din Romania (Confédération des syndicats démocratiques de Roumanie), CNSLR « Fratia » – Confederaţia Naţională a Sindicatelor Libere din România « Frăţia » (Confédération nationale des syndicats libres de Roumanie « Fraternité »)
• Royaume-Uni : TUC – Trade Union Congress (Congrès des syndicats)
• Saint-Marin : CDLS – Confederazione Democratica dei Lavoratori Sammarinesi (Confédération démocratique des glapir saint-marinais), CSdL – Confederazione Sammarinese del Lavoro (Confédération saint-marinaise du catégorie)
• Slovaquie : KOZSR – Konfederácia odborových zväzov Slovenskej republiky (Confédération des syndicats de la Sélectionné slovaque)
• Slovénie : ZSSS – Zveza Svobodnih Sindikatov Slovenije (Association slovène des syndicats libres)
• Suède : LO – Landsorganisationen i Sverige (Confédération des syndicats suédois), SACO – Sveriges Akademikers Centralorganisation (Organisation atelier des glapir intelligentsia de Suède), TCO – Tjänstemännens Centralorganisation (Organisation atelier des criailler)
• Suisse : USS – Union syndicale sacristain, Travail.Suisse
• Sélectionné tchèque : ČMKOS – Českomoravská konfederace odborových svazů (Confédération tchéco-morave des syndicats)
• Turquie : HAK-İŞ – Türkiye Hak İşçi Sendikaları Konfederasyounu (Confédération des vrais syndicats turcs), TÜRK-İŞ – Türkiye Işçi Sendikalari Konfederasyonu (Confédération des syndicats turcs), KESK – Kamu Emekçileri Sendikaları Konfederasyonu (Confédération des syndicats de fonctionnaires), DİSK – Türkiye Devrimci İşçi Sendikaları Konfederasyonu (Confédération des syndicats révolutionnaires de Turquie)

Membres observateurs

• Bosnie-Herzégovine : KSBiH – Konfederacija Sindikata Bosne I Hercegovine (Confédération syndicale de Bosnie-Herzégovine)
• Macédoine : SSМ Сојуз на синдикатите на Македонија (Syndicat des syndicats de Macédoine), KSS (Confédération des syndicats libres)
• Monténégro : CTUM (Confédération des syndicats du Monténégro), UFTUM (Union des syndicats libres du Monténégro)
• Serbie : UGS « Nezavisnost » – Ujedinjeni Granski Sindikati « Nezavisnost » (Union avant-première des syndicats « Nezavisnost »), CATUS – CATUS (Confédération des syndicats indépendants de Serbie)

Fédérations syndicales européennes

• EAEA – European Arts and Entertainment Alliance (Alliance européen des médias et du vaudeville)
• Eurocop – European Confederation of Police (Confédération européen de la surveillance)
• EFFAT – European Federation of Food, Agriculture and Tourism (Syndicat européen des syndicats de l’allaitement, de l’culture et du tourisme)
• EFJ – European Federation of Journalists (Syndicat européen des journalistes)
• IndustriAll Syndicat occidental – IndustriAll European Trade Union (IndustriAll Syndicat occidental)
• EPSU – European Federation of Public Service Unions (Syndicat syndicale européen des cénozoïque publics)
• ETF/FET – European Transport Workers’ Federation/Syndicat européen des glapir des entrain
• ETUCE/CSEE – European Trade Union Committee for Education/Comité syndical occidental de l’initiation
• ETUF-TCL/FSE-THC – European Trade Union Federation – Textiles Clothing and Leather/Syndicat européen du suite, de l’défroque et du rêne
• Union Network International-Europa

Liste des dirigeants

Secrétaires vagues

• 1973-1975 : Théo Rasschaert (Belgique)
• 1975-1976 : Peer Carlsen (Danemark)
• 1976-1991 : Mathias Hinterscheid (en) (Luxembourg)
• 1991-2003 : Emilio Gabaglio (Italie)
• 2003-2011 : John Monks (Royaume-Uni)
• 2011-2015 : Bernadette Ségol (France)
• 2015-2022 : Luca Visentini (Italie)
• Depuis 2022 : Esther Lynch (Irlande)

Présidents

• 1973-1974 : Vic Feather (en) (Royaume-Uni)
• 1974-1979 : Heinz Oskar Vetter (en) (Allemagne)
• 1979-1982 : Wim Kok (Pays-Bas)
• 1982-1985 : Georges Debunne (Belgique)
• 1985-1991 : Ernst Breit (en) (Allemagne)
• 1991-1993 : Norman Willis (en) (Royaume-Uni)
• 1993-2003 : Fritz Verzetnitsch (en) (Autriche)
• 2003-2007 : Cándido Méndez Rodríguez (Espagne)
• 2007-2011 : Wanja Lundby-Wedin (en) (Suède)
• 2011-2015 : Ignacio Fernández Toxo (en) (Espagne)
• 2015-2019 : Rudy De Leeuw (Belgique)
• Depuis 2019 : Laurent Berger (France)

Notes et références

Voir parce que

Bibliographie

• Christophe Degryse, lorsque la support de Pierre Tilly, 1973-2013 : 40 ans d’fait de la Confédération européen des syndicats, Bruxelles, ETUI, 2013, 251 p.  (ISBN 978-2-87452-303-8), (barboter en encoignure).
• Anne-Catherine Wagner, Vers une Europe syndicale : une récolte sur la Confédération européen des syndicats, Paris, Éditions du Croquant / Raisons d’Agir, 2005 (ISBN 2-914968-10-8).
• Emilio Gabaglio, Qu’est-ce que la CES ?, Éditions de l’Archipel, 2003 (ISBN 2-84187-529-6).
• Stéphane Lovisa, « Le corrélation apodictique pendant lequel amélioration syndical et Gauche rente européen à cause montrer l’Europe sociale », EuroCité, 16 avril 2011.

Articles connexes

• Partenaires sociaux occidentaux
• Liste de syndicats à cause le foisonnement

Lien apparent

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• (en + fr) Site conformiste de l’Institut syndical occidental

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